A la croisée des cultures
Format x
2019
Autre monde
Format x
2019
Oiseaux de la porte étoilée
Format x
2019
Virginie
Support : Kodak Pro Endura brillant
Bloc acrylique
Format 10 x 10 x 5 cm
2021
Peer dans la forêt des trolls
Format x
Lubrik3
Format x
Lubrik2
Format x
Lit d'hôpital
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Retrouvailles tourment_Peer&Solveg
Format x
Tourmente Peer_Le passeur de diable
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Miroir reflétant l'esprit de Aase
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Le naufrage
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Peer dans le désert
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Le roi des fous japonais & chinois
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Dans un asile
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Peer sur un bateau échoué
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Hold The Dreams
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Fantastique
L'histoire fantastique contée par mes fresques
/ Les enfants ou l’enfance :
Digital painting
Format x
– à l'extrémité gauche, des enfants sur une poutre sont tournés vers la droite comme s'ils voulaient revenir sur leurs pas, dans la petite enfance, ils ne veulent pas grandir, ils craignent de quitter cette petite enfance-cocon. La poutre est inclinée et les enfants montent par opposition à l'inclinaison de la rue qui longe l'école. L'arbre soutient la poutre et contient des parties sombres pour montrer l'hésitation qui naît dans l'esprit de ces enfants qui ne sont pas encore totalement « enracinés », qui manquent de « lumière », qui ont besoin de plus de temps pour grandir. L'arbre est, lui, bien enraciné et son tronc est bien droit pour leur faire prendre de l'équilibre, pour les soutenir et les faire repartir vers de nouveaux apprentissages.
– Deux enfants s'affairent autour d'une fontaine, à laquelle les enfants se ressourcent : l'eau : symbole de source de vie, de pureté. Elle déverse un nectar de jeunesse qui donne de l'énergie, permet de grandir
– L'enfant dans la grande fleur bleue est propulsé par elle vers la lumière-savoir. Elle est plus développée que la précédente
– Fillette au papillon : ce papillon naît du cerveau dorénavant instruit de la fillette, s'épanouit, ses ailes se déploient pour prendre son envol vers son avenir
– Une silhouette verte, tournée vers la droite, très floue semble disparaître, perdre toute la connaissance, elle se noie dans l'arbre
– Au centre, « la jeune fille aux trois pieds », hésite entre trois chemins : la droite d'où elle vient, elle est tentée par le retour vers l’enfance-cocon ; la gauche, aller vers son avenir tout tracé ; et au milieu, ce qui l'attire : l'inconnu. Elle s'égare elle aussi dans le paysage flou : le début du rêve, vers le fond du tableau, elle semble vouloir pénétrer par une porte vers l'inconnu. Pour marquer cette hésitation entre les trois mondes, on aperçoit trois jambes, l'une tournée vers la droite, vers le monde rassurant d'où elle vient, celle du milieu qui se dirige vers le fond, le monde incertain, la troisième jambe, elle, tournée sur la gauche, vers son avenir.
– Au centre, en haut : on aperçoit deux profils de végétaux qui se font face et symbolisent les gardiens de la porte par laquelle la jeune fille souhaite s'engouffrer. Ils cherchent à protéger encore l'enfant pour l’inciter à emprunter le bon chemin.
– La composition de la « fille à particules »
– La silhouette dans l'arbre, très déterminée, fonce vers son avenir en courant. Elle sait ce qu'elle veut faire
– Les cinq autres personnages, des filles, sont joyeux, dansent, ne se posent pas de questions, sont équilibrés dans leur choix de vie. Elle se sentent à leur place. Elles sont bien inscrites dans leur vie et peuvent même danser sur des rochers, et sur des pierres, donc prendre des risques, tellement leur éducation est équilibrée, réussie. Les pierres rappellent celles qui ont été extraites des carrières de Carrières-sur-Seine.
– J'ai choisi de représenter leurs vêtements par de petites touches de couleurs qui rappellent les légères touches des impressionnistes qui ont tant apprécié les bords de Seine, tel Claude Monet. Ou même plutôt le pointillisme qui découle de l'impressionnisme. Il en va de même pour le feuillage des arbres.
– La fillette prend soin de sa petite Soeur, elle est responsable ; toutes les deux regardent vers l'avenir et observe leur camarade avec le cartable qui semble les attendre
– Le jeune écolier de face, semble inciter les deux fillettes à le rejoindre. Il porte un cartable symbole du savoir. Il est bien équilibré sur ses deux pieds
– L'enfant au bolide se croit déjà grand comme un adulte
– les enfants sur le cheval : le cheval symbolise les manèges de chevaux en bois qui plaisent tant aux petits, ce groupe semble naître de la végétation
– les enfants regardent sur la droite vers leur petite enfance qu’ils aimeraient bien conserver
– l'enfant dans la fleur semble sortir de sa chrysalide, s'épanouir au milieu du savoir et sa pensée progresse, s'affermit